mardi 30 décembre 2008

Pour mon frère...

Y’a tant de façons, de manières
De dire les choses sans parler
Et comme tu savais bien le faire
Tu l’as fait

On n’a rien gravé dans le marbre
Mais j’avoue souvent y penser
J’ai trouvé d’autres choses à faire
Et d’autres sourires à croiser
Mais une aussi belle lumière
Jamais.

A la vitesse où le temps passe
Le miracle est que rien n’efface
L’essentiel

mardi 11 novembre 2008

Son premier message pour moi...sur son blog


Hé bien voilà, le premier article que je mets, il est pour quelqu’un de vraiment exceptionnel, parce que c’est une personne qui a toujours eu beaucoup de patience vis-à-vis de moi, beaucoup d’indulgence aussi, et qui a su me garder son amitié malgré tout ce qui a pu nous séparer pendant trop longtemps.Je sais que je peux compter sur toi, tu sais aussi que tu peux compter sur moi, et même si on ne peux vraiment pas souvent se voir, tu sais les raisons, hé bien on s’aide autrement, je crois que quand on est ami avec quelqu’un, on y arrive toujours.Voilà, je ne vais pas tout dire ici, parce que ou sinon ce blog n’aura pas beaucoup d’articles en fin de compte.Un peu à la fois, c’est déjà pas mal, non ?

Et son message le 11 février 2008...


Une fois de plus, aujourd’hui, je me rend compte à quel point ton amitié m’a manqué pendant toutes ces années.Je n’en reviens pas encore que tu m’aies pardonné mes erreurs et que tu aies accepté qu’on reprenne contact.Si les circonstances de ma vie étaient différentes, et bien on serait plus souvent ensemble, mais heureusement que le net nous permet de nous tenir en contact.Encore une fois, je crois que notre amitié est solide parce qu’elle a survécu à ce qu’il y avait de pire, c'est-à-dire la jalousie que j’aie eue vis-à-vis de toi.Recoller tout, ça n’a pas été facile, mais on y est arrivéeMerci d’être restée mon amie…

Le dernier email de ma soi-disant meilleure amie...



"Salut,
Bon ben ce que je vais te dire ça ne va pas forcément te faire plaisir, mais bon comme je vois que les choses vont je crois qu’il est plus que temps que je te dise ce que je trouve qui ne va pas.
Que tu le prennes mal ou pas, franchement c’est la même chose pour moi.
Tu vas me dire que c’est moi qui ai repris contact avec toi, mais bon je ne veux vraiment pas changer ma vie en fonction de ça.
Apparemment il faut que je te le dise pour que tu te rendes compte que si on ne se voit pas, c’est parce que je dois toujours inventer des prétextes pour mon mari, j’en ai marre de faire ça et bon tu en penses ce que tu veux mais ne viens pas me dire du mal de lui, enfin de toute façon je m’en fous…
J’ai encore été trop gentille de vouloir faire plaisir à tout le monde, mais franchement je préfère rester avec ma vie qui est peut-être anormale pour toi, mais moi je ne veux pas en changer.
J’ai un bon ménage, qui a été dur à obtenir comme il est maintenant et en plus le fait d’avoir réussi à avoir un enfant c’est notre réussite je crois.
Le problème c’est que je me rend compte maintenant à quel point on a pris des chemins différents, même opposés et c’est plus possible de s’entendre, du moins c’est ce que je crois.
Il y a plusieurs trucs que je ne trouve pas logiques non plus chez, et je ne te les ai jamais dit, mais bon la situation ds laquelle tu te trouves actuellement résulte de ça, du moins je pense et je peux me tromper.
Bon et bien si tu as des réactions à ça tu peux me les donner pas de problèmes
Je me doute que ça ne te fait pas plaisir mais je crois que ça vaudrait mieux d’arrêter là et ça sera mieux pour tout le monde en fait"
...Elégante façon de me dire 'dégage'...

france gall je saurai être ton amie


Je saurai être ton amie
Si tu veux me parler au milieu de la nuit
Si tu veux raconter si tu as des ennuis
Me parler de ta vie

Tu sais je sais être une amie
Et je les reconnais tous ceux qui m'ont trahie
Quand plus rien n'était simple au détour de ma vie
En plein cœur de la nuit

Tu sais le moment vient où il faut être là
On a vraiment besoin
De quelqu'un près de soi
Et si tu veux de moi

Je saurai être ton amie
Et je saurai comprendre tes silences à demi
Si tu sais m'accepter et si tu te confies
Je saurai t'écouter, tu sauras que je suis ton amie

Je saurai être ton amie
Et t'écouter cent fois recommencer ta vie
Te redonner encore et encore mon avis
Que tu n'écouteras pas et de faire des paris
Que je saurai perdus

vendredi 30 mai 2008

Dernier message pour Jack



Je n'ai plus envie de vivre ma vie

Mais ma vie ne cesse pas parce que tu pars

Je n'ai plus de vie mais j'y crois encore

Même si tu t'en vas


Je suis malade complètement malade

Comme quand mes parents se déchiraient le soir (tu n'as pas connu ça toi...)

Et qu'ils me laissaient seule avec mon désespoir

Je suis malade parfaitement malade

Tu reviens je ne sais pas pourquoi

Tu repars je ne sais pas pourquoi

Et ça va faire deux ans

Que tu joues avec moi


Comme à un rocher comme à une épée

J'étais accrochée à notre amitié

Je suis fatiguée je suis épuisée

De faire semblant d'être heureuse quand les autres sont là

Je ne dors pas mes nuits mais tous mes insomnies

Pour moi ont le même goût

Et tous les jours je porte ma croix

Je ne sais plus où aller mais j'espère encore

Je suis malade complètement malade


Mais là...

Tu m'as vidé de tous mes mots

Pourtant moi je croyais à notre amitié

Et j'ai mon cœur aussi complètement malade

Cerné de barricades

Ne reviens pas maintenant

vendredi 23 mai 2008

Je n'y crois plus....


Quand l'Amour n'est plus là
Que reste-t-il, pour survivre ici-bas ?
Donne le meilleur de toi-même
Et tu trouveras l'Amour suprême

samedi 17 mai 2008

Réflexions...


Combien de fois faudra-t-il faire la même route pour arriver?

mardi 29 avril 2008



On est souvent trompé en amour, souvent blessé, souvent malheureux
On est souvent trompé en amour, souvent blessé, souvent malheureux


Mais on aime, mais on aime et quand on est sur le bord de sa tombe,
On se retourne pour regarder en arrière, et on se dit et on se dit :

"J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, j'ai aimé,
C'est moi qui ai vécu et non pas un être factice
créé par mon orgueil et mon ennui"


J'ai souffert souvent, je me suis trompée quelquefois mais j'ai aimé,
C'est moi qui ai vécu


lundi 14 avril 2008

Please...


Gimme gimme gimme a man after midnight
Won't somebody help me chase these shadows away
Gimme gimme gimme a man after midnight
Take me through the darkness to the break of the day

lundi 7 avril 2008

C'est par cette chanson que tout a commencé un jour...


Entre nous,
C'est l'histoire
Qui commence au hasard
De nos yeux qui se cherchent
Entre nous

Entre nous,
De nos bras
C'est le temps qui donnera
Un premier rendez-vous
Entre nous

Entre nous, c'est le temps qui s'enfuit qui s'en fout
C'est la vie qui me prend dans son pouls
C'est le coeur qui avoue
Entre nous,
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brule en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux,
De nos moindres secondes sans nous

Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous

Entre nous
C'est le fort, la raison et le tord
C'est l'envie qui nous mord dans le cou

Entre nous,
C'est l'amour qui nous brule en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux
De la moindre seconde sans nous

Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous.


Il m'a fallu du temps pour comprendre... du temps pour enfin accepter mes sentiments... du temps pour oser le toucher... on a tant tourné l'un autour de l'autre... on a tant pris notre temps... 8 ans que ça dure...

dimanche 30 mars 2008

Juste parce que c'est beau ...


La musique du ventilateur
Tourne encore dans nos cœurs
Et nos yeux se racontent
Des histoires de voleurs
Qui n'ont ni peur ni honte
D'être les inventeurs
De ce plaisir qui monte.

Mes mains sur ton visage
Ne retiennent qu'à moitié
La violence de l'orage
Par désir par pitié.
Je veux le bleu du ciel
Avant de m'effondrer,
Brûlée par le soleil,
Comme un oiseau cinglé.

La musique du ventilateur
Tourne encore dans nos cœurs
Et nos corps se délivrent
Perdus dans la tiédeur
De nos rêves qui survivent


vendredi 14 mars 2008



You can't know, oh no
you can't know
how much I think about you, no
It's making my head spin
Looking at you
and you are looking at me
and we both know what we want
hmmm, so close to giving in

Feel so nice
oh yeah you feel so nice
wish I could spend the night
but I can't pay the price
oh no, no

But I'm flying so high
high off the ground
when you're around
And I can feel your high
rocking me inside
it's too much to hide

I know, oh yes
I know that we can't
be together
but, I just like to dream
It's so strange
the way our paths have crossed
how we were brought together
hmmm, it's written in the stars it seems
Feel so nice
oh yeah you feel so nice
I'd love to spend the night
but I can't pay the price
oh no, no

And I'm flying so high
high off the ground
when you're around
And I can feel your high
touching me inside
and it's too much to hide

Back to earth
where did you take me to
I know there's no such thing
As painless love
well it'll catch us up
and we can never win
But ohhh
I feel so alive
ohhh
Just wanna hold you
hold you so tight

And I'm flying so high
high off the ground
when you're around
And I can feel your high
touching me inside
and it's too much to hide
And I'm flying so high
high off the ground
when you're around

mardi 11 mars 2008

Après même si j'ai mal, tu pourras partir...


Rien, plus rien que des torrents de larmes
Plus rien que la pluie qui s'acharne
À me parler de toi
Rien, plus rien que des wagons de brume
Plus rien que ma peur qui s'allume
Jusqu'au bout de mes doigts

Viens me refaire rêver
Me faire encore t'aimer
Viens, même sans tendresse,
Voler ce qu'il reste

Fleurs du mal,
Reviens jouer les fleurs du mal
La nuit le jour, ça m'est égal
Même sans amour, les fleurs du mal
Toute ma vie encore

Reviens couler tous les bateaux,
Dessous tes mains bruler ma peau
Après même si j'ai mal
Tu pourras partir,
Tu pourras partir

Rien, plus rien que des murs sans fenêtres
Plus rien que le jour qui va naitre
À des milliers de toi

Viens, sans toi je sais pas
Pourquoi je suis toujours là,
Viens m'apprendre à vivre
Loin de ton sourire

Fleurs du mal,
Reviens jouer les fleurs du mal
La nuit le jour, ça m'est égal
Même sans amour, les fleurs du mal
Toute ma vie encore

Si tu ne m'aimes pas, apprends,
Comme les enfants, à faire semblant
Après, même si j'ai mal, tu pourras partir
Ne plus revenir.

lundi 3 mars 2008

?????



C'est un goût sur tes lèvres, juste après les baisers
Une amertume à peine devinée

Combien de coups, crois-tu avant que tu dénonces ?
Combien de peurs avant de supplier ?
Combien de jours de faim, as-tu la réponse ?
Avant de te battre, avant de ramper
Combien de pouvoir, avant d'en abuser ?
De désillusion avant de quitter ?
Combien d'alcool pour tenir à la mine ?
De chantage avant que tu ne t'inclines ?

C'est un goût sur tes lèvres, juste après les baisers
Une amertume à peine devinée
Rien qu'un goût sur tes lèvres, qui es-tu, n'es-tu pas ?
Peut-être plus ou bien moins que tu crois

Combien d'années pour élever un enfant ?
Mais pour l'égorger c'est juste un instant
Combien de rêves en route abandonnés ?
D'"automensonges" pour se contenter ?
Combien de verres pour que tombes ton masque ?
Combien de faux adieux, de come-back ?
Combien d'échecs avant que l'on comprenne ?
Et d'autos brûlées pour voter FN ?

C'est un goût sur tes lèvres, juste après les baisers
Une amertume à peine devinée
Rien qu'un goût sur tes lèvres une infime méfiance
Qui se cache sous les apparences ?
Un goût sur tes lèvres, rien qu'un goût sur tes lèvres
C'est un goût sur tes lèvres

Combien de temps pour la routine en amour ?
Aux hôpitaux pour ne plus dire bonjour ?
Combien d'images pour être concerné ?
Quel quota d'étrangers pour s'intégrer ?
Combien de pressions pour lâcher les principes ?
Et de désirs pour tromper et mentir ?
Combien de solitude sans appel au secours ?
De "tout le monde le fait" pour faire à ton tour ?
Combien d'argent, de succès pour changer ?
Combien de cons contre un seul à lyncher ?
Combien de mots pour blesser ou guérir ?
Combien d'espoir avant un bidonville ?

Combien ?
A ton avis ?
Combien ?

dimanche 2 mars 2008

Glitter Words
[Glitterfy.com - *Glitter Words*]

I never tried but I'd like to reach your eden ...


Did you ever think of me
As your best friend

Did I ever think of you
I'm not complaining

I never tried to feel
I never tried to feel this vibration
I never tried to reach
I never tried to reach your eden

Did I ever think of you
As my enemy

Did you ever think of me
I'm complaining

I never tried to feel
I never tried to feel this vibration
I never tried to reach
I never tried to reach your eden

Hooverphonic


Cette chanson s'adresse à une seule personne pour le moment
Mais elle reflète bien l'expression: "le coeur a ses raisons que la raison ignore"

lundi 25 février 2008

Ma pire ennemie...


il y a dans ma maison
quelqu'un dont j'me méfie

qui me défie

qui s'assied à ma place,
qui m'ressemble comme une soeur

qui respire mon air


l'ennemie dans la glace

dont le regard me glace

elle sourit mais j'la connais bien

l'ennemie dans la glace

dont le regard me glace
elle n'me veut pas que du bien

il y a chez moi une hôte indésirable,
insaisissable
qui vit sous mon toit, qui dort dans mon lit

qui jamais n'm'oublie


dehors je croise des étrangers

des ombres qui marchent dans le noir

ce n'est pas d'eux que vient le danger
mais je reconnais chaque soir

ma pire ennemie dans ce miroir


je m'souviens de la femme que j'étais,
mais une traîtresse
l'a fait disparaître
et moi, qui suis-je? chasseuse ou chassée

qu'est-ce qui s'est passé?

dimanche 17 février 2008

Si tu étais un voilier... If you were a sailboat


If you were a cowboy I would trail you,
If you were a piece of wood I'd nail you to the floor.
If you were a sail boat I would sail you to the shore.
If you were a river I would swim you,
If you were a house I would live in you all my days.
If you're a preacher I'd begin to change my ways.

Sometimes I believe in fate,
But the chances we create,
Always seem to ring more true.
You took a chance on loving me,
I took a chance on loving you.

If I was in jail I know you'd spring me
If I was a telephone you'd ring me all day long
If I was in pain I know you'd sing me soothing songs.

Sometimes I believe in fate,
But the chances we create,
Always seem to ring more true.
You took a chance on loving me,
I took a chance on loving you.

If I was hungry you would feed me
If I was in darkness you would lead me to the light
If I was a book I know you'd read me every night

If you were a cowboy I would trail you,
If you were a piece of wood I'd nail you to the floor.
If you were a sail boat I would sail you to the shore.
If you were a sail boat I would sail you to the shore





Si tu étais un cow-boy je te suivrai à la trace,

Si tu étais un bout de bois je te clouerais au sol.

Si tu étais un voilier je te guiderais jusqu'au rivage.

Si tu étais une rivière je te parcourrais à la nage,

Si tu étais une maison je t'habiterais chaque jour.

Si tu étais un pasteur je commencerais à changer mes habitudes.



Parfois je crois au destin,

Mais les chances que nous créons,

Semblent toujours mieux sonner.

Tu relèves le défi de m'aimer,

Je relève le défi de t'aimer.



Si j'étais en prison je sais que tu m'aurais immédiatement libéré

Si j'étais un téléphone tu m'aurais fais sonner toute la journée

Si j'étais malheureuse je sais que tu m'aurais chanté de douces chansons



Parfois je crois au destin,

Mais les chances que nous créons,

Semblent toujours mieux sonner.

Tu relèves le défi de m'aimer,

Je relève le défi de t'aimer.



Si j'avais faim tu me nourrirais

Si j'étais dans le noir tu me guiderais vers la lumière

Si j'étais un livre je sais que tu me lirais chaque nuit



Si tu étais un cow-boy je te suivrai à la trace,

Si tu étais un bout de bois je te clouerais au sol.

Si tu étais un voilier je te guiderais jusqu'au rivage.

Si tu étais un voilier je te guiderais jusqu'au rivage.

lundi 11 février 2008

L'amour ne se joue pas... On l'apprend toujours à ses dépends


J'ai eu des illusions
Et puis des certitudes
Et, comme au casino,
J'ai tout perdu d'un coup.
Le rouge au lieu du noir,
Le mauvais numéro,
Le quart d'heure du chanceux
Et, tout à coup le trou.
Lorsque j'étais enfant,
J'étais admirative
On me croyait idiote
Parce que inoffensive.
C'est comme au casino :
Deux paires, c'est rien du tout
Mais ça ramasse un pot
Et beaucoup de jaloux
Et puis j'ai joué l'amour,
Un jeu épouvantable.
J'ai misé sur toujours
Et banco sur la table,
Mais, comme au casino,
La boule va où elle veut.
Le tapis était vert,
Il avait les yeux bleus.
A n'importe quel âge,
La gloire est un problème.
On le résout toujours
En brulant ceux qu'on aime.
C'est comme au casino.
On joue la martingale
Et puis sort le zéro
Et le rideau final